Notre crédo
L’hydrogène est l’élément commun qui relie la corrosion sous contrainte, au travail en milieu H2S, à la fragilisation à froid en soudage, aux phénomènes de corrosion (piqures, ..), aux difficultés liées à une protection galvanique, à l’utilisation de pile à combustible ou au développement du moteur à combustion interne en hydrogène, en passant par le décapage ou le revêtement chimique ou électrolytique de pièces mécaniques…
Pour chacune de ces thématiques, il est nécessaire de bien appréhender les problèmes d’ordre métallurgique associés à cet élément :
– L’attaque par hydrogène avec la formation de méthane in situ dans les appareils d’équipement sous pression (bien connue dans le monde des énergies carbonées),
– La fragilisation par l’hydrogène pour les alliages à hautes caractéristiques mécaniques, (bien connue dans le monde du soudage ou des revêtements électrolytiques),
– La formation d’hydrures pour certains alliages (CFC),
– Le clocage avec la recombinaison in situ du gaz H2. (bien connue dans le monde de la sidérurgie),
La non prise en charge des ces interactions H / structure métallurgique induit une réduction drastique de la durée de vie des produits en accélérant les endommagements par fatigue et/ou fluage.
Il est donc nécessaire de trouver des solutions pour limiter les risques associés à l’hydrogène, parlons-en !